/HOT\ Zoologie : étude du comportement animal ou décryptage des pensées humaines ?{pv. Hélios Caradja}

Ses larmes ne cessent de couler et je me sens mal de le voir ainsi. Je ne sais pas si je suis vraiment la personne adéquate pour consoler un humain. Je ne sais pas si je suis en mesure de trouver les mots pour consoler un adolescent, un jeune homme...
Il se colle à moi comme s'il était à la recherche de ma chaleur ou de mon réconfort. Il ne semble ne plus vouloir me détester ou que je m'éloigne. Il est aussi changeant que le vent.

Son visage est maintenant caché dans mon torse et je ne peux plus voir que le haut de ses cheveux. D'une main je lui frotte le dos, comme on le ferait à un petit enfant, ou ... à une personne chère qui en ressent le besoin.

«  Hey c'est bon, il n'y a pas mort d'hommes, je vais survivre, je ne pensais pas que tu avais autant de force par contre »

Je frotte mon bras mais le frottement me soulage à peine, je pense que je vais avoir un bleu dans quelques temps. Le corps humain est faible et marque vite... A une époque je n'aurai pas eu à me soucier de ce genre de considérations. Je lui souris même s'il ne peut me voir en cet instant.

« Je vais te montrer quelque chose, suis-moi »

Je me détache un peu de lui et je passe un bras autour de sa taille, j'ai le sentiment qu'il en a besoin et je le guide à travers les allées vers une zone un peu à l'écart du parc. Sur une porte, la mention privée est indiquée ainsi que le logo d'une petite caméra. Zone filmée, la zone de surveillance du parc. Je lâche Hélios pour taper le code et le voyant lumineux passe au vert. Je pousse la porte sans reprendre le contact avec le jeune homme qui m'accompagnait.

« Bienvenue dans l’œil du Parc »

Ici, deux personnes surveillent en permanence les différentes vidéos du parc. Plusieurs murs contiennent différents écrans qui switchent parfois sur d'autres zones du parc. J'interpelle les deux hommes présents.

« L'un de vous peut me passer sur l'écran de visionnage la vidéo de la crypte de la dernière demi-heure ? Merci »

Je me tourne alors vers Hélios et avec un petit sourire je lui demande de me suivre dans la petite pièce à côté. Il s'agit là d'un écran solitaire dans une pièce très réduite. Un petit bureau, deux chaises. On est très loin de la salle de cinéma mais c'est assez pour ce que je veux faire.

« Assieds-toi »

L’icône de la vidéo est apparu et je m'installe sur une des chaises pour sélectionner le moment que je veux lui montrer. L'altercation d'abord, puis ce qu'il s'est passé après notre sortie. La dame semble avoir reçu l'équivalent d'un sceau d'eau sur la tête, elle est dégoulinante, rouge comme un homard mais toutefois elle ne semble pas avoir de plaques liées à des brûlures graves. Sa peau sera simplement fort sensible durant quelques jours. Un regrettable... incident. Sur les vidéos, rien ne montre mon implication mais le résultat final est là... Son cri résonne encore dans mes oreilles. Nous aurions sans doute dû rester. Le spectacle vaut le coup d’œil.

« Cette vision te plait ? Cadeau... »

Tout au long de la vidéo, j'attendais la chute en guettant les réactions du jeune homme auprès de moi. Je guettais chacune de ses réactions, attendant l'instant où la honte et la colère feraient place à l'étonnement, la joie ou peut-être juste le soulagement.
Un homme sage serait sans doute resté stoïque jusqu'au bout et n'aurait peut-être pas même pris la peine de faire ce que j'ai fait... Presque une blague potache et pourtant à voir le sourire d'Hélios, je ne peux m’empêcher de penser que j'ai bien fait, que j'ai eu raison.

«  On récolte toujours ce que l'on sème d'une manière ou d'un autre »

Il ne comprend pas bien sûr, pour un si petit tour je n'ai pas vraiment besoin de faire de grands mouvements à la manière des manipulateurs d'eau dans les films. Une pensée m'a suffit... Je ne suis pas une sorcière devant bouger le nez de manière charmante ou un maître de l'eau d'une certaine franchise. Je suis juste moi, un homme presque ordinaire, un dieu devenu humain.

« Pas exactement... disons que j'ai certaines facultés »

Est-ce que Hélios risque de commencer à se poser des questions sur celui que j'ai pu être avant de me réveiller dans ce monde, avant qu'il me rencontre ? Peut-être. J'aurai pu lui mentir, lui dire que son idée était la bonne et il m'aurait sans doute cru sans poser plus de questions. J'imagine que quelque part je l'invite à tenter de me découvrir peu à peu. Je me demande s'il va s'imaginer que j'ai été sorcier, être de l'eau ou créature ... J'imagine qu'il ne pensera pas tout de suite à l'un de ces dieux qu'il a décrié devant moi lors de notre première rencontre. Je me demande comment il réagira s'il l'apprend un jour. Surtout si ce n'est pas par moi.

« Tu n'as peut-être pas eu l'occasion de donner une chance aux gens. Mais peut-être peux-tu me faire un peu confiance et... me demander la prochaine fois ? Mon bras te remerciera »

Je lui fais un petit clin d’œil. Il est certain que si j'avais voulu me venger, j'aurai cent fois eu l'occasion de le faire mais ce n'est pas mon intention. Je n'ai pas sauvé Hélios que pour le condamner ensuite.

Il ne me pose aucune question et commençant à le connaître, je m'en étonne. Je le pensais plus impatient et avide.
Doucement il se met à caresser mon bras meurtri et je frissonne. Je ne sais pas quelles pensées il peut cacher derrière son beau visage et son silence me pèse. Je me demande s'il imagine à ses côtés un quelconque monstre marin... J'imagine qu'il ne resterait pas aussi proche de moi si tel était le cas.

«  Je n'en demande pas tant »

Des heures, des jours, alors qu'à peine être avec moi qu'il se fait déjà agresser. Ce jeune homme est étrange. A notre première rencontre il s'est écroulé, à notre seconde agressé... et pourtant il semble s'être profondément attaché à moi. Je n'ai, à mon sens, rien fait pour... si ce n'est peut-être le taquiner. Aime-t-il être taquiné ? Tenté ? Mon regard l'étudie et se concentre sur lui. C'est alors qu'il me caresse la joue et je me fais interrogateur.
Son baiser me fait fermer les yeux l'espace d'un instant, le contact de son front contre le mien me fait les rouvrir. Il est si proche, il ne semble pas vouloir s'éloigner. Je pose une main sur sa cuisse.

« Je me demande à quoi tu penses... Es-ce que ça va mieux maintenant que tu as vu ? »

Je fais quelques caresses légères sur sa cuisse, me demandant s'il va me repousser ou se laisser faire cette fois. Je me rappelle ma tentative de contact chez lui... il s'était alors éloigné de moi comme s'il s'était brûlé et pourtant je n'avais pas fait grand chose. Sans doute moins encore qu'aujourd'hui.

« J'espère que tu ne vas pas avoir peur de moi maintenant... J'aurai aimé que notre visite du parc soit plus... agréable pour toi. Je suis désolé. J'espère que tu voudras bien encore revenir »

«  Ce n'est pas moi que tu voulais frapper, c'est déjà ça. Mais tu sais frapper, même si ça soulage sur le moment, cela ne résout rien »

Personnellement j'aime prendre le temps de la vengeance, la mûrir, la penser. Mais il est parfois bien difficile de ne pas céder à l'adrénaline, surtout lorsqu'on est à l'aube de sa vie. Je n'ai pas toujours été sage moi-non plus mais j'ai eu des siècles pour me forger alors que lui n'a eu que quelques paires d'années.

Je ne m'attendais pas à ce qu'il me chevauche et je fixe un instant la porte fermée. Logiquement mes employés ne devraient pas entrer ici mais qui peut savoir ce qu'il peut passer dans l'esprit d'un reflet lorsqu'il est animé par un chef d'orchestre qui s'ennuie ? Pour l'heure, ils me semblent cependant assidus à leur travail car je n'entends nul mouvement de leur part.

« A quel point es-tu curieux ?  »

Oui je joue avec le feu et j'en suis bien conscient. Il ne s'est pas enfui et cette fois ce n'est pas une chute qui l'a poussé sur mes genoux alors je tente ma chance comme on tente de dompter un cheval sauvage et mes mains glissent sur ses fesses comme pour l’empêcher de me fuir à nouveau.

« Qui sait ? Peut-être que tu finiras par te lasser de toujours revenir vers la même oasis ? »

Je souris mais je sais que jamais un avenir n'est tout tracé et ce peu importe oh combien on le désire. Autrefois j'ai failli ne pas connaître ma nymphe de femme, tout aurait pu être différent et bien d'autres événements également. Qui aurait pu dire il y a cent ans que je serai là en cet instant ?

Je lui dépose un baiser sur le nez, presque taquin avant de cueillir ses lèvres dans un nouvel union. Je sais qu'il ne serait pas raisonnable d'aller plus loin en cet instant car nous ne sommes ni à Rome ni en Grèce aux temps jadis...

Direct à n'en pas douter. Alors qu'une simple paroi fine nous sépare de mes employés fictifs, Hélios semble vouloir me connaître tout entier. J'aurai presque envie de céder à la tentation... Mais où en serait la saveur du jeu ?

Je fais glisser l'une de mes mains vers l'intérieur de sa cuisse et je joue de mes doigts le long de cette dernière.

«  Tu sembles bien impatient cette fois, qu'est-ce que je devrai faire de toi ? »

Ma main joue et pianote tandis que mon autre main se trouve toujours sur ses fesses. Lentement je la fais progresser vers l'objet de son désir mais sans toutefois le toucher et l'effleurer. J'aimerai bien tester jusqu'où va sa patience.


«  Tu pourrais être surpris  »

* En découvrant qui je suis vraiment *

«  Imagine que ce que tu découvres ne te plaise pas, que feras-tu petit démon tentateur ? »

De démon tentateur je me demande si je ne suis pas le plus infernal de nous deux car je m'amuse de son corps comme le ferait un artiste sur sa toile. Ses mains se glissent sous mon haut et je frisonne sous leur fraîcheur et leur toucher.

«  Tu sais que je rêverais de t'allonger sur ce bureau en cet instant ? »

Ma voix est basse, si basse qu'elle pourrait presque passer pour un murmure. Je me lève de ma chaise en le soutenant de ma main afin qu'il ne glisse pas lamentablement sur le sol de surprise et je me colle à lui, nous mettant franchement par là en contact total et je fonds sur sa bouche jusqu'à le laisser haletant et pantelant.

«  Nous devrions y aller »

Je me sens quelque peu à l'étroit dans mon pantalon en cet instant et je sens que je ne suis pas le seul. Les lèvres rougies, le regard enfiévré, Hélios est un appel tout entier à une luxure à laquelle je ne peux céder sur le moment.

Hélios a clairement envie de moi, je le sais, je le sens et je l'entends mais je ne peux clairement pas le coucher en cet instant sur le bureau devant nous et je retiens un soupire. J'aimerai le faire languir, le faire me supplier... Mais en ce moment je ne peux rien, je me dois d'être sage et je déplore que cette époque ne soit pas plus délurée.

Oh je sais que normalement nous ne devrions pas être dérangés ici mais... tout peu arriver et la porte n'est pas fermée à clef, d'ailleurs elle ne possède même pas de serrure et heureusement, sans doute. Et puis les murs trop fins feraient qu'Hélios devraient retenir sa voix et j'avoue que j'ai envie de l'entendre alors qu'il se perdrait dans le plaisir et le désir de moi... J'ai envie de l'entendre me supplier... Je le regarde avec envie.

«  C'est ennuyant d'être sérieux »

Il me touche et je sais que c'est loin d'être pas inadvertance. D'un coup de bassin je piège sa main entre nos deux corps et je lui susurre en lui effleurant l'oreille.

«  Tu ne devrais pas jouer à ce jeu-là, Hélios  »

Car s'il veut jouer je peux aussi transgresser quelques règles et alors qu'il tend à me voler un nouveau baiser plus que tendre, je laisse s'échapper sa main pour la remplacer par la mienne sauf que moi, je ne la retire pas et je ne fais pas que l'effleurer. Ma main se fait volontairement enveloppante, caressante. Des caresses des plus appuyées et longues.

«  Tu ne devrais vraiment pas jouer à un jeu que tu veux perdre, Hélios »

J'insiste, et je le caresse aussi de ma voix, je me demande jusqu'où il tiendra avant de me supplier de l'emmener loin de cet endroit.

Il croyait que... oui moi aussi je pensais que vous devions rester sages mais j'aime jouer. Je ne suis pas certain qu'il soit en mesure de me le reprocher vu son état actuel. J'aime le voir ainsi, la bouche légèrement ouverte, le souffle court, dans l'attente. C'est la première fois que je le vois ainsi et j'ai comme l'impression que je ne vais pas m'en lasser de si tôt. J'aime ses réactions à mes attentions et son regard quelque peu perdu. Je crois qu'il ne s'attendait pas à ce qu'en jouant avec le feu, il brûle.

«  Tu croyais que ? »

On dirait qu'il a du mal à se concentrer et intérieurement je sens la chaleur monter en moi. J'ai l'impression que la température de la pièce a doublé... J'aurai bien envie d'enlever ma chemise en cet instant et tout le reste aussi. Ce ne serait pas raisonnable bien sûr, mais qu'est-ce que ce serait bon, sans doute. Mais... il ne serait pas idéal pour une première fois de s'unir dans un petit bureau miteux contre un coin de table... Ce serait ... un peu brute et sauvage... Je pris son visage en coupe, caressant sa joue, m'attardant de la pointe de mes doigts sur ses lèvres gonflées, comme un aveugle découvrant un visage.

Je me penche sur son cou et le parsème de quelques baisers tout en me collant plus encore, si cela est possible, à lui. Ma main ne cesse ses mouvements sur son désir que je devine bien trop dressé dans son pantalon.

«  Tu me sembles un peu à l'étroit mon cher ami  »

Une voix chaude et taquine et des actes qui le sont certainement plus encore. Je relâche la pression sur son désir et je caresse son ventre plat non loin de l'ouverture de son pantalon, jouant avec le tissu qui protège sa taille, glissant mes doigts en dessous j'effleure à de nombreuses reprises sa peau chaude et douce... je sens quelques poils aussi... et soudainement quelque chose de bien plus chaud.

«  Tiens... qu'est-ce que nous avons-là ? »

Un simple doigt taquin... juste un doigt sur un gland déjà bien trop humide.

«  Il semble que je vous fasse de l'effet, Monsieur Hélios »

Ce bureau n'est vraiment pas bien isolé. Il n'était certainement pas prévu pour le visionnage à l'origine mais c'est moi qui l'ait fait installer de cette manière et... je le sais pertinemment, un son étouffé ne serait pas perçu mais plus.. assurément. C'est pour cela qu'il y a des casques à disposition.

J'ai l'impression que mon petit jeu perturbe grandement Hélios et je m'en amuse beaucoup. J'aime le voir ainsi, entendre son souffle court, voir ses yeux qui papillonnent. Je fonds sur ses lèvres, puis je taquine son cou, sa jugulaire.

Lui aussi se perd dans mon cou, je ne sais s'il tente de se cacher de moi ou s'il veut juste couvrir ses expressions. Il se cambre, chercher mon contact. Adorable.

«  Si je continue ? Si je continue quoi Hélios ? »

Une voix innocente, je crois que je suis bon à ce jeu-là alors qu'une main aventureuse détache le bouton de son pantalon et descend sa braillette. Ma main qui ne faisait que taquiner son gland s'enroule alors tout autour de la forme de son sexe encore cachée par le tissu.

«  Je ne comprends pas, dit moi... qu'es-ce que je fais ? Qu'est-ce que je ne dois pas...continuer  ? »

Je sais que je joue avec le feu et que rien de ce qui se passe en cet instant n'était prévu. Je me demande s'il va m'en vouloir ensuite, si je devrais tout arrêter ? D'une minute à l'autre nous risquons d'être surpris et cela ne rend que le jeu plus excitant. J'espère juste que ni lui, ni moi, ne le regretterons ensuite.

Ma main autour de son sexe était ferme mais douce. Simplement l'enlaçant comme une promesse. Je voyais à son regard qu'il commençait à perdre pieds et de quelques mouvements je tentais de le faire entrer en perdition.

Sa main se pose sur mon propre désir et d'un coup de bassin j'approfondis son contact. Il me fait frémir. Mes mains se glissent sous ses tissus et fond glisser son pantalon et son boxer avant de dévoiler à mes yeux son envie dressée. Ma main enfin entre en contact avec sa peau fine et délicate et l'effleure sur sa longueur avant de taquiner son gland. L'une de mes mains le prend ferme et entame le mime des amants.

Sous mes doigts je le sens trembler, ses yeux roulent et il cache sa tête dans mon cou. Je le sens frémir tout entier, se perdre dans le plaisir et le désir. Il me mord mon épaule et je pousse une exclamation étouffée alors qu'il se répand entre mes doigts, abandonné.

Sa main sur mon propre désir se met à s'activer. Il peine sur mon bouton et finit par le déloger de sa prison. De sa main agile il me caresse et je ferme un peu les yeux. Il n'est plus temps en cet instant de le repousser. Je pousse dans sa main ma virilité, quelques gémissements étouffés s'échappent de mes lèvres entrouvertes et quand il me demande s'il peut me gouter, je ne peux qu'acquiescer.

Sous ses lèvres et sa langue habiles, je me laisse emporter. Je tends à me taire mais je peine à me retenir. Il est plutôt doué et je me demande si dans d'autres temps ils ont été nombreux à mourir sous ses attentions. Ma main se perd dans ses cheveux, les chiffonnant, les agrippant.

«  Humm... Hélios, oui, c'est bon, continue »

Mais je sens que le plaisir devient bien trop grand, bien trop fort. S'il ne s'arrête pas je ne pourrais résister et dans une tentative de le laisser se retirer, je pose ma main sur son épaule pour le repousser un peu.

«  Non.. attend, je.. »

Entreprenant, envoutant. Hélios ne semble pas vouloir que je me retire. Il me tente, m'aguiche, essaye à son tour de me rendre fou. Sa langue est habile, agile, je ne suis que sensation et pourtant je garde à l'esprit que je dois me faire discret. C'est dur, terriblement dur, tout comme ma queue dans sa bouche.

J'entrouvre les yeux. Et soudain c'est trop tard, d'un coup sec du bassin je m'enfonce dans sa gorge pour y lâcher toute ma semence à grands jets. Cela fait bien longtemps que je n'ai connu pareille délivrance... Hélios me regarde en essuyant sa bouche gonflée... les yeux brillants... définitivement sexy. Il me fait penser en cet instant à un démon de luxure. S'il n'avait des jambes et si peu de poils, j'aurai pu le prendre pour un satyre.

«  Je m'en souviendrai »

Doucement je récupère et je me redresse de la table sur laquelle je m'étais soutenu. Avisant un rouleau de papier essuie-tout, j'en prends quelques feuilles et je m'essuie un peu également. Ce rouleau c'est celui de Gladys, je crois... ou quelque chose comme ça. Elle l'avait amené ici car elle était enrhumée. Merci Gladys.

«  Tu devrais te rhabiller un peu, Hélios »

Petit sourire alors que mon regard s'attarde très très fort sur son sexe au repos et que je passe ma langue sur mes lèvres. Dommage que nous ne pouvions aller plus loin en cet instant car ce petit interlude m'a donné bien des envies. Son corps d'éphèbe me semble des plus tentateurs en cet instant.

La visite du parc ensuite fut bien plus sage même si parfois l'une de mes mains se perdit sur son postérieur. Je le quittais d'un baiser chaste à l'entrée du parc, lui donnant un rendez-vous futur pour réaliser ses photos.

The End.