Sujet: Une fugitive à l'agonie [ABANDONNE] Lun 30 Nov - 0:55
Une fugitive à l'agonie
Je m'étais enfuie de l'hôpital par la fenêtre après mon opération de la jambe qui d'ailleurs s'était remise un peu a saigner après ma chute. Je devais sûrement ma survie a une chance inouïe d'être tombée dans un buisson qui a amorti ma chute. Malgré mon état des plus déplorable et mon bras cassé, je n'avai pas attendue la police pour fuire du mieux que je le pouvais.
Les personnes qui m'avaient aperçue ont été bien trop choquée et impressionnées, sans doute, pour lancer des appels d'alerte après mon passage. J'avais boité jusqu'à la forêt la plus proche que je pu trouver pour m'y cacher et la fièvre commençait a s'emparer de moi au fure et a mesure de mes pas et surtout de mes efforts. Qui puis est je perdais du sang car les débris de la fenêtre que j'avais cassée m'avaient entaillé la peau asser profondément par endroit.
Les médicaments que l'on m'avait tranfusés ne faisaient plus effets et je sentais la douleur m'envahir. Elle était tel que j'en tremblait et je voyais flout en serrant les dents pour ne pas m'arrêter, mais en vain. Je finis par m'effondrer entre les arbres et je gémis sous ma détresse. Il faut dire que sous les médicaments je n'avais pas vraiment réfléchi aux limites de mon corps.
Le froid nocturne commençait a s'emparer de moi, n'étant vêtues que de le chemise d'hôpital don le dos était plutôt dénudé ainsi que mes jambes et mes pieds. Des sous vêtements ? Ils n'avaient pas pensé a m'en remettre après mon opération, et oui, ils avaient du me dévêtir pour m'opérer. Ils avaient pensé me laisser me rhabiller seule après mon réveil mais j'avais préféré la fuite plutôt que de perdre mon temps a cela.
Ma seule envie était de m'éloigner de toutes ses personnes et de m'isoler mais dans mon état ma survie était plus qu'improbable si personne ne me trouvait avant qu'il ne soit trop tard. Je respirait fortement, par saccades irrégulières tandis que la fatigue s'emparait de moi et je fermai peu a peu les yeux, seule, perdue au beau milieux de la forêt.
Sujet: Re: Une fugitive à l'agonie [ABANDONNE] Lun 30 Nov - 5:21
Une fugitive à l'agonie
Mon coin de forêt je le connais par cœur. Chaque brin d'herbe, chaque rocher, aussi quand une perturbation a lieu, je ne tarde point à m'en apercevoir. Savez-vous que le chant des arbres change parfois ? Que les oiseaux, toujours n'ont pas non plus la même voix ?
Comme à mon habitude sur mes terres je suis nu et ne je les arpente le pied léger. C'est alors que je le sens, que je l'entends, quelqu'un est entré. Je me laisse porter et c'est alors que je la vois cette forme blanche sur le sol. A première vue il s'agit d'une jeune femme, une jeune femme presque nue, vêtue d'une chemise d'hôpital.
" Qu'est-ce que ? "
J'avoue que ce n'est pas courant. Ici les gens rarement sont nus... ou alors pas seuls. Cette femme... ou du moins celle que je devine être une femme à la longueur de ses cheveux, semble étrangement incongrue dans l'écrin de cette nature.
Je m'approchais alors. Je dégageais de son front ses cheveux pour voir son visage, elle était si pâle... écartant un peu les pans de ses vêtements je remarquais ses nombreux bandages dont certains étaient tachés de sang. Elle semblait des plus mal en point... et même ses pieds étaient dans un sale état. Comme si elle avait longtemps couru sans chaussure. Je ne pouvais la laisser là.
Je la pris dans mes bras et je l'emmenais chez moi, la portant comme une de ces mariée d'autrefois. C'est dans mon lit que je la posais et c'est là que je la déshabillais. Inconsciente elle était... mais elle avait besoin de soin. Je partis en quête d'herbes dans ma forêt et j'en fis même pousser. Lorsque je reviens auprès d'elle, je lui ôtais chaque bandage et les remplaçais par des cataplasme de mon invention. Les hommes actuels avaient oublié les bienfaits de la nature, mais pas moi.
" Qui peux-tu être ? "
KoalaVolant
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Sujet: Re: Une fugitive à l'agonie [ABANDONNE] Lun 30 Nov - 12:37
Un fugitive à l'agonie
J'étais a l'agonie lorsque l'homme se prenant pour Adam me trouva, j'étais a peine consciente et je m'évanouis après quelques secondes a peine. Je me laisse donc porter par lui sans savoir où il allait m'emmener ni ce qu'il allait faire de moi.
Ma respiration n'est pas très régulière et mon corps mutilés de toutes part au vu de ma fuite quelqu peu suicidaire, qui aurait eût l'idée de sauter de la fenêtre d'un hôpital sérieusement. Je me laissai faire, étant toujours inconsciente, le teint pâle. Ma blessure par balle est a l'arrière de ma cuisse et c'est le seul endroit portant un bandages, mes autres blessures étant le résultat de fuite dangereuse.
Nulle doute qu'il peut encore y avoir des débris de verre dans ma chaires a quelques endroits. Mais en dehors de ça ma peau est totalement lisse, sans aucunes impuretés, comme si il est neuf, ce qui en soit est bien le cas.
Je tousse un peu, ayant pris un peu froid et je commençai a émerger. Tournant la tête de gauche a droite lentement, et lâchant un gémissement grave avant d'entre ouvrir les yeux même si ma vue est encore un peu foutée. Je pris quelques seconde avant de voir plus distinctement, sentant la chaleur de mon corps du a la fièvre et je posai le regard sur l'homme qui se tient a côté de moi.
Aussitôt j'ouvris grand les yeux et je tente de lui donner un coup de poing par simple instinct. Je n'ai pas encore remarqué ma nuditer actuelle, n'ayant pas pris le temps de jauger la situation avant de réagir excessivement a la présence de l'homme qui en réalité cherche a me sauver, chose dont je ne prend pas conscience.
Sujet: Re: Une fugitive à l'agonie [ABANDONNE] Mer 2 Déc - 15:13
Une fugitive à l'agonie
La petite biche que j'avais trouvé commençait à papillonner des yeux. Jolie trouvaille que j'avais fait là dans les bois et ... assez rare. Elle était la première que je trouvais presque totalement nue et blessée ainsi. D'habitude les humains venaient ici batifoler... pas s'éteindre. Du moins c'est ce que je pensais. J'étais après tout encore une incarnation bien récente en ce monde. Je n'étais pas encore au fait de tout.
Je sautais d'un bon en arrière pour éviter son poing vivace. Bons réflexes, Pan, bon réflexes.
" Du calme ma bichette, je ne te veux aucun mal "
Je levais les mains au ciel à la manière des petits humains voulant se faire passer pour innocent, et toujours avec un petit sourire aux lèvres et un peu d'écart j'ajoutais :
" Je vous ai trouvé mal en point dans la forêt et je vous ai ramené ici pour vous soigner "
J'avais remarqué, bien sûr, que sa blessure à la jambe semblait être celle de l'impact d'une balle et qu'il ne semblait pas être venu le temps de la chasse en ce monde. Elle avait certainement quelque chose à se reprocher mais à vrai dire cela ne me regardait pas. Je voulais bien faire de ma forêt son havre de paix pour peu qu'elle me montra pattes blanches envers la nature et ses habitants.
" Je ne voulais pas vous effrayer, il est inutile de me frapper "
KoalaVolant
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Sujet: Re: Une fugitive à l'agonie [ABANDONNE] Ven 11 Déc - 22:10
Une fugitive à l'agonie
Je le fusillai du regard mais je fus complètement incapable de tenter quoi que ce soit d'autres, encore bien affaiblie par mes mésaventures. Je n'ai aucunes idée d'où je suis et ce qui m'attend. Son regard poser sur moi me met mal a l'aise, n'aimant absolument pas la présence des autres être.
Je détournai le regard en serrant les dents, la douleur dans ma cuisse se réveillant peu a peu. La colère et la haine me rangeant de l'intérieur, mes mains commencèrent a s'entourer d'ombres et une ambiance de malaise embauma peu a peu les lieux.
- Ne m'appeler plus jamais ainsi si vous tenez a la vie.
Je finis par remarquer l'ombre se former autour de mes mains et he les regardai, mon regard s'emplissant d'une lueur meurtrière et un sourire se dessinant au coin de mes lèvres. Bien sûr ce n'est rien comparé a ma véritable puissance mais c'est un signe d'évolution. ️ Jawilsia sur Never Utopia
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Sujet: Re: Une fugitive à l'agonie [ABANDONNE] Lun 14 Déc - 14:57
Une fugitive à l'agonie
Elle ne semble pas commode la petite biche. Elle me fait penser à certaines nymphes de ma contrée natale. J'en ai rencontré des femmes farouches, des femmes de tête, des déesses et des reines. Son regard sombre est loin de me faire peur et ses menaces ? J'avoue qu'elles ne me touchent pas vraiment. Je me contente de lui sourire, pour toujours et à jamais, je sourirai.
" Et bien je ne connais pas votre nom, si vous me le donnez, je pourrai sans doute l'utiliser. Je m'appelle Silène. Détendez-vous, je ne suis pas votre ennemi. Si j'avais voulu vous faire du mal, je ne vous aurais certainement pas soignée "
Autour de ses mais semblent se rassembler les ombres de la pièce et je sens comme la température baisser. Intéressant. Je pourrai sans doute l'immobiliser avec une liane.. mais je perdrai certainement à jamais sa confiance que je voudrais pourtant gagner.
" Je ne sais pas ce que vous fuyez, mais ce n'est certainement pas moi, n'est-ce pas ? Du coup prenez le temps de vous reposer, de respirer. Avez-vous faim ? "
Je reste à une certaine distance d'elle pour ne pas qu'elle se sent oppressée ou agressée. Comme un petit animal blessé, j'ai l'impression que je vais mettre du temps à l'approcher et je me dis qu'un peu de nourriture ne pourrait que l'amadouer et peut-être m'aider à l'apaiser. Je lui souris et je me déplace en douceur, je ne pense pas qu'elle puisse se sentir agressée, mais... J'ignore ce qu'elle a bien pu vivre avant d'arriver sur mes terres.
Une chose est pourtant certaine, elle diffuse autour d'elle une sensation que je connais bien et cela me fait plus sourire que trembler. Il n'est pas né celui qui fera naître la panique en celui qui l'a inventée.